Une semaine avec un taberneck, de Pierre-Henri Monnet

Nicoals Ven 18 Oct 2013 - 0:56

C'est mon deuxième couteau de cou. Le premier que je porte réellement en condition quotidienne, c'est-à-dire tout le temps, et je ne me suis servi d'aucun autre pour quoi que ce soit pendant une semaine, y compris pour couper les légumes (sauf un économe pour les éplucher, faut pas pousser).

Le voici :

Une semaine avec un taberneck, de Pierre-Henri Monnet Tabern10

Par rapport au Taberneck brut de livraison, il est un peu rogné au niveau du finger choil et au niveau du talon. En outre, j'ai arrondi tous les angles de prise en main : c'est plus confortable.

Au boulot sur du saucisson :

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Ça fait le travail, mais il faut être attentif et précis.

Sur des légumes :

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Pareil : ça tafe, mais ça demande plus de temps et de concentration.

Bon, à sa décharge, il a 4,5 cm de tranchant, c'est pas bézef.

En revanche, il a un grand avantage : il est là tout le temps, sous la chemise ou le tee-shirt, invisible à tous, prompt à servir. Cutter, coupe-papier et couteau d'office furent testés ; gratte-fire-steel, faiseur de copeaux, poing américain et brise-glace, pas encore.

Je te vois

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Je ne te vois plus

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Si si il y est : on voit un peu la ficelle sur le cou.

Un couteau de cou court, prise en main deux doigts correcte, trois doigts un peu plus délicate, mais possible.
D'abord un couteau de secours, un truc qui ne se voit pas, qu'on ne sent plus sur soi mais qu'on sait sur soi et qu'on attrape aussi naturellement qu'on se gratte l'oreille et qui évite souvent la mini perte de temps d'aller chercher un machin - plus adapté peut-être, mais plus loin, ailleurs dans la maison ou au bureau ou dans le sac - pour faire un petit boulot rapide.

Autre avantage : le doigt dans le trou. Et s'il fait froid et qu'on a les didis engourdis, ça sécurise la prise. Idem si l'on a mis des gants. Ça évite aussi de le faire tomber si on le sort un peu précipitamment pour une coupe d'urgence en haut de Grandes Jorasses ou dans l'eau.

Bref, voilà.